Ahmad Sleiman: Le neveu secret Un tract non destiné a Sainte-Rosita
Le neveu secret Un tract non destiné a Sainte-Rosita
La soeur qui a été enlevée dans une vieille nuit comme mon oeil observant un soleil parcimonieuse, je frotte la timidite de mon oeil timide, puis je tate les murs, je croit qu’ils vont tomber chaque fois que tu t’en vas.
Ahmad Sleiman: Le neveu secret Un tract non destiné a Sainte-Rosita |
1 – La soeur qui a été enlevée dans une vieille nuit comme mon oeil observant un soleil parcimonieuse, je frotte la timidite de mon oeil timide, puis je tate les murs, je croit qu’ils vont tomber chaque fois que tu t’en vas.
Accompagniée des enfants de la sœur qui a été enlevée dans une vieille nuit
5- Des moutons atterissent avec leurs fadeux, joyeux s’atterissent fascinés. je me coule que je peurai de mon âme, l’âme s’ecoule et je me dirige .
6- La parole que j’ai prononcé à travers d’une lucarne donnant sur un cour m’a detruit, avant apparition que l’ange de penitence nous parait, nous n’avons pas egratigne les ouies, comme si une crainte ecoute les murmures lointains, d’un silence qui s’est trempe, apres qu’un muet nous a surpris, l’ascenseur serieux d’une petite lucarne nous a surpris.
7- Je laisse derriere moi une generation longue qui me mettre en liaison avec des anges, des mechants, costauds, puis je me coule comme un troupeau q’une elite de femelles me fait fondre.
8- Comme ca, je n’aurai pas commencé, pour n’est pas frotter mon œil et je te suis comme l’habitude d’un adolescent, lorsque j’etais avec mon moi solitaire sur un bas montagne.
9- En face de moi des vieux en état de leur regret, des orphelins absence et epellation sous leurs semelles.
10- J’erre avec mon visage dans une nuit que je commence avec une joie fausse comme quelqu’un portant un autre nom que celui qui me fait mal depuis un certain temps, me fait fuir. Solitaire aussi est mon dernier nom ORHAN OZBAY .
11- Voila des fronts brillants et des casques jetés.
12- désolé, mon visage attend le temps vers le coucher du soleil inevitable, que le temps passe pour que les rideux tombent, je me tremble avec le tremblement d’une brise de vent leger.
13- Avec des semelles pointus, des assurits venus du nord, des armeniens coté-à-coté syriacs j’ai vu leurs drapeaux en rumeure des orphelins.
14- Des bosniacs, des moscovicis des aphgans avec des tetes pendus.
15- La nuit m’offrir ses fardeaux, apres avoir contemple avec la confiance d’un connaisseur, je tombe chaque fois le vent touche le tail des rideaux, je crois que vous frissoner la nuit de mon visage chaque fois que j’observe une petite lumiere.
16- Je fais des rumeurs avec des vieux habitant un petit garcon qu’ils ne regrettent que son etoile obscur. Je m’occupais de mes doigts tandis qu’elle prepare des etincelles, des encens .
17- Les étoiles sont dormis, beau comme la forme des etoiles sur la blancheur du corps,la nuit redoutable derniere, un gardien national m’a engueule pour m’eloigner des lumieres de la ville, je lui ai parlé de mes secrets suspendus près d’un pont, une fois les étoiles dormaient, le toucher de lumière,quitte sa ville près de pont
18- je regrette des moutons tandis qu’ils piétinent sur un autre troupeua marchant à une mort originaire.
19- Je me suis rapproché d’une longue allée,tenant des bougies royals que j’ai préparé pour la adoration de solitude, alors on vient de m’annoncer la suicide de ma malheureuse femelle.
20- j’ai laissé ce que j’ai préparé avant le sommeil des étoiles alors j’ai vu une auréole de lumière, jaillit d’un brouillard épais, je t’ai aperçu courant derrière les étoiles,puis je t’ai perdu dans l’embouteillage de brouillard,les étoiles sont endormis , la belle forme jaillit s’est tuée par une lumière éclaire vers moi
21- le temps s’éloigne et moi, vers le coucher du soleil
22- Je m’agenouit dans un monde se rit sur l’odeur du poudre et des décorations de poussiers.
23- J’ai remarqué ma forme qui s’est modifié, alors que j’écoutait trente ans écoulés. Quand j’ai été rassuré de mon absence ,je me suis accodé la tête sur une étoile pour lui annoncer le mensonge du gardien garde presifleurs de la cimetière des lettres au someil sur les bords du Bosphores.
24- Un garçon se penchant in ne regrettant qu’une étoile sombre
épellation amère.
25- Des femmes abstenues à la timidité, je me suis lancé tandis que je reprise de l’air humide ta voix était humide ,comme un oreiller fait des pierres transparents
26- le vieux de forêt qui se penche vers le coucher des fils de la mère,la femme de l’ascète vert,son mari qui dans un croissant fait l’adoration.
27- Mais,pourquoi les habits et les chales s’envolent une pièce après l’autre ?
28- Leur fils et son amère femelle de la tendresse et de l’adoration somptueux se repentit d’un feu de grêles.
29- tant qu’il ne me fait préoccuper que de toi, ceux qui surpassent les baiseux vertueux, avant que je me dépose sur une terre inclinée
30- La coupable au lieu de lui
coule comme les moutons de dieu qui déborde de pierres prodigues elle altère au soleil qui se fige.
31- celui qui a été absent de son corps n’était pas moi
32- Elle regrette le sauvage chassé, avec son teint rigoureux, dont elle s’est repenti.
33- Que je te frotte qu’autre temps ,ce baiser je le mets sur une feuille pour qu’il touche ton sommeil douillet.
34- l’étoile avec sa petite lumière me secoue son ậme se met à genoux sur une table une neige chaude.
35- peut être c’est l’immam,qui m’a fait chercher ce jour là. sa voix me montre une porte qui devance un édifice, qui peut se détruire
36- les rideaux,je les regarde d’en être bas,il ne m’a pas vu comme le vieux du quartier,tranchat de nature regide, celui qui est impatient, avec sa voix enrouée, lorsque je la regarait d’en bas les frissons du rideu.
37- le soleil fait mourir la sécheresse, brûlante.
38- En haut, je suis le faible, je tent ma tête, je te trouve pas une femme blanche adorante, aimante le silence et la regidité semblable de mea face, la face de sainte Rosita: Bahnan.
39- avec une gourmandise solitaire … je me sens seul avec une nostalgie détruite,des rideaux peuplés de silence jusqu’à l’asphyxie.
40- avec des lettres qui mangent ses lèvres, touchant un œil avant que les papiers vous quitte,et vous les déchirez.
41- Dans l’horizon une âme se rétrécit sous un poignet.
42- Puisque c’est la foret on trouve le lion morte.
Extrait du ” Le neveu secreUn tract non destiné a Sainte-Rosita
Ahmad Sleiman: Je suis amoureux, je crois |
Je suis amoureux, je le crois, mais la langue est ici nuisible inpate à exprimer le passionel, la maîtresse de la langue mange une pomme, et moi je regarde le soutien gorge qu’elle a énlevé et suspendu a mon cou.
Pas de miroir dans ma chambre, je regarde à travers le vitre de la fenêtre , le neige couvre les vitres et les cris des corbeaux a l’extérieur agressent mon corps, j’ai besoin de quelqu’un pour me consoler, c’est ainsi que pense mon corps, il a ses raisons, mais la langue ici lui fait mal, c’est pourquoi je vois mon corps habille, éperdument ce qui suffit a quatre personnes avec en plus un pantalon en cuir et un manteau épais que j’ai pris a un général retraite de l’armée rouge russe avec les grades et les étoiles qui me font planer aux enfers.
Avec ce manteau, j’ai mal agi, le soutien couvre le grade du manteau, le manteau est bien chaud mais ma timidité fait mal a la langue et la maîtresse russe insiste pour que
Je commence a prononcer l’alphabet, ouf….
Je reviens vers l’enfance, je tends de lus en plus vers la contemplation, c’est pourquoi j’ai préfère la gesticulation au lieu de déchiffrer la langue, commencant par un geste caché par le soutien. sa poitrine était maternelle, pour moi comme tout enfant turbuleant , je commencerai par une language qui me distrait , mais cette language ne réussit pas a m’emmener vers le metro le plus proche, ou vers un magazine pour acheter de quoi manger. Moi je ne mange pas ici , c’est pourquoi je n’ai pas besoin du language, je m’y metterai a apprendre la gesticulation, la nourriture ici ne vaut même pas être un fourrage , un peu plus tard je mangerai un repas que prépare ma maîtresse. Elle a mangé mon toisième pied..
J’ai faim, la nourriture ici nuit a l’appétit je mangerai ma maîtresse alors. J’ai songe a ça. elle a compris que j’ai froid et elle m’a serré contre elle. La photo entre mes mains remente a des plusieurs mois, je lui est du regardé fixement.
-qui c’est? Elle a dit
Ma maîtresse du français je réponds
-tu as appris le français donc?
-j’ai dit non, j’ai appris la gesticulation et le sexe.
-comment?
Je n’ai pas répondu cette fois, comme je l’ai fait auparavant, que je n’ai pas besoin de la langue russe et que je n’aurai pas besoin d’autres languages, la maîtresse a saisi le secret de mon silence, elle a contemplé ma femme ressemblant au coucher du soleil, et elle me fait comprendre que je n’apprendrai pas a accompagner une femme russe si je n’apprends sa langue.
Mais j’étant dans une situation critique, j’ai appari comme si j’apprendrai la langue, cinq cents mots, tous les mots sont en rapport avec le manger, le sexe, le sommeil. Mais lenine qui nous a appris a aimer les peuples et marx de qui nous avons hérité le capitalisme et Trotsky que j’ai oublie s’il était un leader révolutionnaire ou bien un star d’un film américain, tous ceux-la affirment ce que nous pouvons apprendre a travers les langues de la terre, et moi je n’ai pas appris que la langue de mes parents, les plus proches a mon cœur, et je n’ai pas écrit qu’en langue arabe selon l’équivalence de la région qui nous a poussé a partir vers des pays qui nous fabriquent avec un aspect bizarre et nous voila un mélange de plusieurs langues turque, arabe , et quelque débris d’autres langues.
Que tu demandes ce que tu veux en une seule lettre, que tu te decois, oh amoureux, ton feu refroidi. Dans une lettre la je demande qu’elle me rend les mots que j’ai dit pour elle, expliquant ce que j’ai cité dans mes vingt cinq lettres, ce n’était pas d’elle , et il y a quelque jours j’ai reçu quelques lettres imprégnées de l’eau du désir, un papier signé avec une lettre trop fine a peine je l’apercevais , elle cite:
-je t’ai offert ce qu’aucune autre femme n’a pas pu enflammer en toi.
Extrait du: «Fleurs du feu»
Ahmad Sleiman : Engourdissement de l’oubli |
Ma forme dispersée dans un rectangle avec des cotes usés me fait mal. Des masses d’air autour de moi, sur la même surface des leviers baillants me soulèvent.
Depuis des siècle j’ajuste mon aspect, j’enlève mon être de l’air d’utérus conservé, puis je conjecture en rigolant avec celui qui a mis le dessin il y a peu de temps, qui a cru a mon idée avec habilité et ruse d’un vrai loup.
Comme le concierge d’un immeuble, pauvre, ballerine avec son engourdissement, et le muscle de tenant plus proche a un édifice imaginaire, tandis que je demande qu’elle éloigne la feuille de son visage et qu’elle mettre un miroir devant, puis elle prevaloit le rectangle et le tableau du visage giflé et les leviers requises c’était pour me lire comme je le fais maintenant ainsi ce que je veux écrire dessine sur l’envers de cette page, dans cet instant elle saura que ce que j’ai voulu dire n’était pas vraiment ca , peut-etre c’etait d’elle , parceque l’engourdissement de mes doigts a rendu bouche close, pour cela je vais laisser le papier entier.
Je crois avoir compi pourquoi j’ai coupé l’engourdissement de l’eau en voyant de haut de l’ombrille, Mais la-bas une image dans sa chambre me fixe plus que ce que demande la lecture de mes letters par la trousse, de maquillage,pour cela,elle devait prevaloir le movement du miroir avec souplesse, contrairement a ce qui m’a attire a elle, elle ne s’est pas preoccupe par l’engourdissement d’omission, parceque j’ai vu les cadavers de mes letters decoupes, mais elle continue a zezayer plus ce qu’elle voulait, en ce moment je me suis trouve en panique plus qu’avant lorsqu’elle s’est deshabillee et mes yeux tombaient du tableau.
Comme le rectangle est bizarre lorsqu’il s’est brise en clin d’oeil !!
Mais mon ami l’a restauré, mais cette fois ci il ne m’a pas dessine, je crois qu’il a gifle son visage avec des ardoises armées a ma place, puis il a mis ses moustaches sur des toles fuies des memes boites, et le sommeil s’est accroche a mon epaule, mais il s’est trouble quand je lui ai parle des lieux encientes d’engourdissement du temps. bien qu’il m’a mis en garde de ne pas continuer; parceque j’ai faconne une forme, elle baisse plus qu’un ruse d’un loup timide .
Encore une fois le rectangle, je me couche sur ses cotes brises, ses cotes cendres me font de la peine, et moi je suis une crible qui se compare a la force. En ce moment j’ai compris le secret de ma peur de l’intelligence des nuages que cache la femme balerine sous son ombrille.Le triangle m’a prevenu qu’il contienne l’eau de vie, et en resume je dois etre allongé selon sa forme, mais je vais essayer contrairement a ce qu’a dessine la surrealiste il y a quelques jours, avec l’eau je n’ai que la secheresse, peu et tres peu d’engourdissement, pour cela, je vais fuir et mettre une virgule qui limitera ma capacite, peut-etre je finirai quand mes lettres m’expliqueraient, et avant que je me brise, pendant un somnolence, parsuite la peur remet tout et la rectitude en regret dont je le suppose.
Mais, mes entrailles usés me font mal, et la forme avec des cotes ne convient pas a ce que nous possedons comme espace, puis le monde est etroit, il ne peut pas contenir les anges et une langue et la mercure.
Seuls les martyrs et les saints depuis deux mille ans, peuvent demonter le temps, et aves eux je tiens le corps du feu.
Quand ils ont descendus portant des matraques et le pas passe, comme les caumandos ils ont fouille le temps, et les poemes, la longueur d’onde d’un radio puis ils ont frappe l’air et le temps deja detruit, ils l’ont frappe, comme ci c’etait moi, puis ils ont pris ma forme qui medite encore une pièrre d’adoration, le vide seche sur mes levres, escactement comme ci je frappe le corps du tableau avec un couteau, et je tombe a trios heures moins quart, a soiscante cinq ans après avoir touché ma derniere decade.
Du livre: Engourdissement de l’oubli
Ahmad Sleiman : Je fumerai du cigare |
Je fumerai du cigare donc, en ton honneur je fumerai du cigare, pour te dire que j ne suis pas celui dont l’idées d’attendre le jour de ta mort me réjouit ,le miaulement de chats partagerai ce jour avec moi.
Je ne suis pas celui dont l’âme s’éprend par des amantes qui ont perdu leur amour loin de la vituensité, tant en touchant ton sommeil, oh leurs grands père.
Disons, tant pis pour ta journée d’amour, et pour les doutes et les cantiques qui ne cessent de parler de l’aurore , de l’amour a laquelle j’étais invité bien qu’il était étroit, et orné. Tu dois être heureux quand on te fait des rapproches sur un fait qui fait mourir ton âme, et fait perir le temps et les fêtes ornés, et c’est à nous de percevoir ton allure et tes desciples. Tandis que tu te promènes aux champs elysées pour alncer tes discours orateurs à la foule de tes tours payens.
En prônant pour des rites édifié avec la chaleur de ton sang suffoque sur le banquet de tes amis à l’entourage de l’église, les évêques crachent sur toi parceque tu les as du décu par ce que tu as fait.
Je me souviens les impudentes que j’ai vus il y a quelques années dans mes cauchemars , je réveille jean boudiar pour qu’il cite devant toi ses dix commandement de seduction, et je cite devant toi a sa place, pour que tu ne nous distrais pas et pour que tu ne nous seduis pas et tu ne nous trompe pas,toi le voyant et ne nous terrorise pas dans la trahison. Tu as des secrets etranges, tu cherches tes victimes, et tu n’est qu’un lache, possedé par l’idee de mourir de l’adoration et tu fais mourir le monde par ton penchant d’adoration depuis le debut des siecles. La je dessine une tache a la dimension de mon corps, je cache sur trente deux ans passes par mon corps, pour qu’ils arretent de ne me decoite pas chaque an née jusqu’à l’age de 46ans. Toi le vieux des mensonges et des paiens, quel bonhomme?. Tu guettes des femmes qui pense a ma solitude aveugle, ca ne fait rien en tout cas, je dois benir d’autres femmelless, comme l’autre jour dans le province français il ya des annees je circulait les sanctuaires dessinés et les temples et les faux moines, comme toi je marchait à coté des rues, pendant que tu te vois courir derriere les ois disperses devant les maisons. Puis je hate le pas a une distance égale pour te decevoir quand je distribue les roses et les magiques etreintes, et un haletement parfait aux amoureux, toi le vieux, pas comme ton agé rouillé delaisse rapidement, avec le respect des tes biens aimés, pour les distrairtions, l’adoration luxueux, puis tu te iouerais avec mon ame pourri, par la poussiere de ton epaisse barbettu t’amuses. Je ne suis pas celui qui te regarde, comme un fatigue fievreux qui me pousse a fumer, je fume explicitement, et toi vieillard tu fumes comme je moi avec moins de soupcons et une seduction vaincue, et tu aimes mon invitation comme un œil tari, le dernier souffle de la fe chetive et puis tu flottes comme ma vie dans la splendeur amere, et ton regard me detache, la jalousie habituelle par un respect attirant, et je tombe amoureux de ce que tu a pris de moi de solitude, de ma clairvoyance l’espoir puis je laisse mon corps se souvenir de son isolement avant ta fete luxueuse pour qu’il ne quitte pas sa place pendant que je fume mon cigar. Pour que je comprenne ton temperament pareil a ton feu eteint, je fume avec un desir et une nudité pour que je ne celebre pas ta fete, toi le prêtre egorgé, l’idee m’a mangé bonhomme, et le gout de ce qui se cache dans mon âme et ne se calme pas m’a egorge, je fumerai apres avoir rempli le cigar par ce qui rend la tête lente, puis je sens la presence d’un sultan dans mon imagination, je fume pour que mon bon humeur ne me quitte pas et pour que je ne pars pas vers des endroits qui nuisent le sommeil et se remplissent de doutes.Voici les loups de la ville qui font emouvoir des cœurs meurtris, loup seduit par l’idee et l’adoration, les renards nous ont devoré, tant mieux reveiller les amoureuse loin de leur distraction? je comprends après deux millions de fois que ta fête et sans saveur bonhomme, mais elle seduit les femmes, seduit les jeunes et celles qui se pretendent jeunes, me seduit moi-même quand je ne fume pas le cigar, quand je cherche un sultan à installer dans mon imagination. Je ne suis pas celui que ton idée lui seduit. Parceque a chaque moment j’adore ma bienaimée, je peux l’etreindre passionnement pour des ans a venir, tu as ta fete toi le crépusculé, nous avons une fatigue qui te fait disparaître, des qualites que tes semblables ne comprennent pas, certains sont partis vers ton isolement et d’autres dont leur ame souflent sous la terre, je celebre une poignée d’etoiles, par une morceaux du soleil tremblé. Les yeux des chats ne te supportent plus, ils vous ont annonce leur fievreuse accomplement le jour de ta fete. Qu’est qui t’arrive toi, loup, ton intelligence perdu comme ca, et des pretres privés, le comble de leur bonheur lorsque tu echange ton entourage ecclesiastique et que tu miaules au lieu d’adorer ta deception et que tu te sens triste pour les chats egorgés de la ville, moi je tiens le couteau pour égorger ton spêctre.
Extrait du livre «Je me forme…»
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Foule parole…certaines s’assoient sur une table, cetaines font l’alternance sur les étagères d’un bureau,comme ci je définis la vie,chaque fois q’une lettre tombe de cette étagère, et trouve l’occasion pour chuchoter avec un frère je la punis.
Ma parole me fait mal… quand il vous demande de lire mon visage,et vous ête près d’un zézaiment,à chaque fois apparait ce que je cache, et que le public vous gronde à cause de moi.
Le blâme me met à l’aise…
Comme celui qui mérite une visite de ce château.je me trouve dans un moment différent,dans la table de matière que j’ai préparé,et je n’ai aucune histoire avec la monde, sauf un moment que je sauté par moi chaque fois sauf des mots qui sortent malgré moi- il n’y a pas des contes ici-je cite la narsation sans depart, j’experiment ma capacité de ruse, parceque je suis une foule que ne ne rencontre qu’à la saison des pleurs,seulement desindivers qui participent sur un repentir,et ils sont très loin du repentir.seulement une illusion en forme de pluriel, parceque avec ca on pousse le temps avec ce qui cache comme un paris absolu . A propos d’un temps qui m’a quitté, crucifier sur des cercueils, a propos d’une mort qui met un fin a sa solitude, la ou il n’y a avait pas un debut, lorsque j’ai mis le dernier point, devant celui qui a tourné mes feuilles et mon âme, mes yeux errants et une conte sans narateur, une conte comme celle-la, sur une table pas a côte de moi, vous asseyez derriere, et vouz lisez solitude de ce texte et mon âme tremblé. Comme si ma vie est celle d’un autre, comme si j’ai un peu fole, mon âme me dépasse, je tiens une ecriture, et autour de moi une distance que je ne puisse pas arriver a l’eteindre.On raconte que c’est une blague qui contient une tromperie, un begaiement … comme quelqu’un qui met un rideau sur un tremblement, quelqu’un qui tisse des espoires pour les egares, il essaie d’ajouter un point, lorsque nous etions jeunes et fragiles, et nos yeux fins, pareilllement à ce point essayé par lui.
Comme si nous n’avons que des pertes, nous les portons avec magnanimité d’étruite,comme si rien ne commence jamais.
Je voudrais raconter un fin.en ce moment les sens sont éloignés,la parole m’a déconcerté .. la seule qui m’a fait tomber sans hésitation.
Le matin m’a déchiré,la voix du réveil-matin m’a frondé .nous avons bu ce qu’on a trouvé,et j’ai perçu de nouveau que je ne suis pas moi…
Comme celui qui perde une mère, la vie et la langue se dépêche devant lui,j’ai porté une somnolence et une partie de moi, je suis devenu comme toi envers moi.
J’ai eu peur que la verre se casse,et j’ai voulou faire autre chose,pour jumeler la finesse d’une miroire et la douceur que des verres cassé.en même moment une famille et des amis qui comprenent l’alphabet de ma peur,je n’ai pas perdu d’autres.
Pour des ombres qui attendent un fantome avant la vie avec une bal de tennis.
Je tatonne la minceur de mes organes,d’une dénonciation qui m’indique une capitale qui habite un hopital psychiatrique, je medite sur ce qui a été dit avant.
Il me dépasse tros decades.il a volé son visage…puis je te partage votre opinion à cause de mon orgeuil très poussé,
Qui peut –sauf moi- écrire la somnolence,le dernier jour je n’y arriverai pas au départ,j’ai tendance à le rouler lorsque vous voulez partir,nous attrapons la mort par son cou,comme si le savais pas, j’écoute une voix qui bégaie et la souplesse de celui qui lui donne sa bénédiction..
Je n’ai pas fait un coup d’œil sur la montre…la finesse du toucher et une langue me pousse aux souvenirs,je suppose une rue dans laquelle n’êtes pas accompagnés.. vous entrez dans un centre qui n’a pas de bien avec quelque chose et vous sortez aven un ami et mon ombre s’essoufle derrière vous.
Comment une ame ne tremble pas?
Elle ne quitte pas son origine… des habits jetés,et quelque chose se trasforme en langue qui dormait dans une chambre, comme celui qui fait la tête à sa mere, je fuis vers le bas, mon corps n’est pas moi, toujours à la même crise. Ceux comme le somnolence, certains qui ont detruit la vie des autres, ils ne sont pas avec moi, je pense a une nuit dans une entrée, vous êtes a côté des vêtements d’un homme qui a perdu son image et sa puce gauche, il a oublié les traits des prochains et que de la ville, il tousse des malheurs et des boules de neige.repentir por un regret .. regret et il n’y a pas un ombre ici, et parceque je suis comme ca vous n’avez qu’a demander a ma mere, pres de Intab qui parle de l’amour et l’emprisonnement en oubliant ce qui m’arrive, et parceque vous n’êtes pas comme ca, je m’exerce dans des leçons, parceque je suis trés loin d’une langue(…). A un interpelement de extrait du «Engourdissement de l’oubli» repentir, j’essaie la moindre de chose une parole trebuché sur un desir, a la portee à une balle de feu, vers le bas, ou on ne trouve pas des hommes d’un autre astre, comme celui qui tient son ombre et disparaît, je me demande a propos des jumaux pour un spectacle…
Je tiens l’air de ma chambre, j’attends que quelqu’un me tire dessus par erreur .
Extrait du “Engourdissement de l’oubli
Ahmad sleiman : Oeuvres litteraires
Chants des morts en marge des rayaumes. Ed. Koras 1993
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